Au fil des ans, ce petit village du département de la Drôme est devenu un lieu culte et un rendez-vous incontournable des manches de CF de la catégorie Piste 1/5ème. Rien d’étonnant que l’effectif se soit propagé jusqu’au rupteur pour le lancement du championnat 2021 !
Avec plus de 62 pilotes venus des quatre coins de France pour en découdre sur une piste toujours aussi spectaculaire, de par sa rapidité. Le grand bouleversement du jour était constitué par l’arrivée de la catégorie Brushless. Avec 14 voitures coiffées de carrosseries de Sport Proto toutes plus belles les unes que les autres qui piaffaient d’impatience d’en découdre sur le circuit. Celles-ci mettront en évidence un réalisme à couper le souffle, mais une autonomie un poil limite pour couvrir les manches de 15 minutes. Hormis cela, l’organisation confiée à Hugues Peugeot et à toute son équipe se sera déroulée sans la moindre anicroche. Avec à ses côtés la présence d’Ollivier Lecollinet en tant qu’arbitre fédéral.
Podium Brushless : victoire d’Olivier Sampietro devant Christophe Padovani et Samuel Bulle.
Podium Brushless avec les 5 finalistes.
Podium F1 : victoire de Sébastien Marinot devant Julien Peynot et Florian Durandin.
Podium Formule France : victoire de Frédéric Veysseyre devant Pierre Filloux et Rudy Veysseyre.
Podium Formule France avec les 5 finalistes.
Podium Elite : victoire de Bernard-Alain Arnaldi devant Olivier Sampietro et Cédric Prévot.
Hugues Peugeot préside le club Drômois depuis déjà près de 7 ans.
La remise des prix et ses récompenses.
L’arbitre fédéral Ollivier Lecollinet qui remet le trophée de la pole position au pole man Elite : Bernard-Alain Arnaldi.
L’arbitre fédéral Ollivier Lecollinet qui remet le trophée de la pole position au pole man Formule France : Pierre Filloux.
Belle prestation de ce pilote local, qui pose ici en compagnie de papy Garcia. 74 ans au compteur, et toujours une pêche d’enfer !
Le Président du club BMVRC Hugues Peugeot au micro, avec Ollivier Leccolinet.
La Genius XR4 Evo de Bernard-Alain Arnaldi en action !
La S88R d’Olivier Sampietro qui termine 2ème de la finale Elite.
La Mecatech FW-01 de Cédric Prévot qui termine 3ème sur le podium en Elite.
Les carrosseries de Sport Proto ont fait leur apparition au sein de la catégorie brushless. Une touche de réalisme en plus, comme ici avec l’auto emmenée par Pascal Hervy.
La S88RE d’Olivier Sampietro, signataire de la pole et de la victoire en Brushless.
Le Proto électrique Brushless de Christophe Padovani.
La Yankee X4 FF de Rudy Veysseyre qui termine 3ème de la finale Formule France.
La Yankee X4 FF de Frédéric Veysseyre qui remporte la course dans cette catégorie.
La FBX de Pierre Filloux, le pole man en catégorie Formule France.
Ollivier Lecollinet avait accompli un long déplacement depuis Louviers pour venir arbitrer cette manche.
Pierre Filloux en pleine concentration sur le podium.
La piste du BMVRC.
Les stands ont fait le plein, avec plus de 60 pilotes.
Les pilotes en train de préparer leurs machines.
Elsa et Melina, les 2 groupies des stands !
Le préparateur moteur des années 2000 Franck Cohade est de retour. Celui-ci alignait pas mal de carters préparés sur cette course, et notamment dans l’équipe du magasin Vosloisirs88, puisque son gérant Olivier Sampietro (à droite) est désormais le distributeur exclusif de ses productions !
La S88R d’Olivier Sampietro signataire de la 2ème place de la finale Elite.
La S88R d’Olivier Sampietro aura fait une course remarquable en catégorie Elite.
New moteur préparé JPF sur l’auto d’Olivier Sampietro.
New servo Futaba HPS A700 de 74 kilos de couple à la direction sur la S88R d’Olivier Sampietro.
Frédéric Veysseyre a montré aux » ptits jeunes » qui restait le maître à bord en signant une belle victoire !
La Yankee X4 de Frédéric Veysseyre qui transparaît sous l’apparence de cette Mac Laren 720S.
L’arrière de la Yankee X4 de Fred Veysseyre. C’est sous cet angle que ses rivaux verront le plus l’auto une fois en course.
Année après année, la Yankee X4 de Fred Veysseyre poursuit son développement.
Un nouveau support amortisseurs arrière en macrolon était testé à bord de l’auto de Fred Veysseyre.
Le nouveau support de la Yankee X4 permet d’incliner davantage les amortisseurs à l’arrière.
La géométrie avant de la Yankee X4 demeure inchangée.
Moteur Tex R sur l’auto de Fred Veysseyre.
La Ferrari F1 de Guillaume Loubière.
Philippe Terrasse.
La S88R de Philippe Terrasse, avec sa coque de Porsche 911.
La S88R de Philippe Terrasse.
La quasi majorité des pilotes S88 sont passés avec des moteurs JPF pour cette année.
La S88R de Philippe Da Rocha.
La S88R de Philippe Da Rocha.
Face aux caractéristiques croissantes des servos numériques, certains pilotes n’utilisent plus qu’un seul servo à la direction. A l’instar du nouveau Futaba HPS A700 qui fournit 74 kilos de couple !
L’Alsacien Cédric Prévot a joué les premiers rôles au cours de la finale Elite.
La Mecatech FW-01 de Cédric Prévot.
La Mecatech FW-01 de Cédric Prévot évoluait en configuration empattement court.
Le châssis court de la Mecatech ramène l’empattement à 500 mm, contre 530 auparavant (Chinois !).
A Beaumont, Cédric Prévot roulait avec un moteur Abbate.
Gros servos numériques quadrulplés à la direction sur l’auto ded Cédric Prévot.
On retrouve désormais Pascal Hervy en catégorie Brushless.
La S88RE de Pacal Hervy avec sa carrosserie Sport Proto.
La S88RE de Pacal Hervy. Notez les pneus qui sont des F1, de marque GRP. Le tout pour un poids total d’environ 10,4 kg.
Pas moins de 33,6 volts pour propulser la S88RE de Pascal Hervy.
Le moteur brushless et le contrôleur de 200 Ampères sont fixés vers l’avant du châssis à bord de la S88RE.
Gros plan sur la géométrie avant de la S88RE. Les triangles de suspension n’ont plus rien de commun avec ceux de la versino thermique.
Le train arrière de la S88RE, avec sa grosse barre antiroulis et sa transmission protégée par des soufflets de protection.
La S88RE est motorisée par un moteur de 800 Kv.
L’épure de direction de la S88RE fait appel à des porte fusées montés sur rotules.
Dominique Prévot de Molsheim.
Rudy Veysseyre a de qui tenir. Il se place 3ème de la finale Formule France.
La Yankee X4 de Rudy Veysseyre.
La carrosserie de Mac Laren 720S par la face avant.
L’ancien champion du monde de TT 1/8 thermique Frédéric Veysseyre (à gauche) en compagnie de son fils Rudy. Un tandem gagnant ce week-end.
Frédéric Simonet du club RACG.
La pole pour Pierre Filloux en catégorie Formule France.
Cette carrosserie d’Alfa Roméo venait coiffer la FBX la plus rapide de la catégorie FF aux Qualifs. Celle emmenée par le pilote Lyonnais Pierre Filloux.
La FBX FF de la pole de Pierre Filloux, qui termine également 2ème du classement général en catégorie FF.
Moteur préparé par JPF sur l’auto de la pole FF de Pierre Filloux. Un 23 cm3.
Réglage de châsse et butée spécifique sur la FBX de Pierre Filloux.
Gérald Delaguette s’essayait au 1/5ème en compagnie de Patrick Garcia.
Pole et victoire pour Bernard-Alain Arnaldi en catégorie Elite.
La Genius XR4 Evo de BA Arnaldi en Elite.
Le Montpellierain Didier Dahan était fidèle au poste.
La Genius XR4 Evo de Didier Dahan.
La Genius XR4 Evo de Didier Dahan.
Amortisseurs très inclinés à l’avant de la Genius XR4 Evo de Didider Dahan.
Gros plan sur le train arrière de la Genius XR4 Evo de Didider Dahan.
La S88RE du doublé pole en victoire Brushless d’Olivier Sampietro.
La coque en lexan de la voiture d’Olivier Sampietro.
Les accus HVLI au graphène utilisés sur l’auto d’Olivier Sampietro, vainqueur de la catégorie Brushless. Ces accus Li-Po 2S de base portent la tension de 7,4 v à 7,6 v.
La S88RE en version électrique.
Joël Peynot, un habitués des épreuves 1/5ème.
La Mecatech FW-01 de Joël Peynot.
Le réalisme est au rendez-vous grâce aux carrosseries Sport Proto.
Encore une carro de Sport Proto qui roulait en Brushless.
Samuel Bulle termine 3ème de la finale Brushless.
La FBX Brushless de Samuel Bulle.
La FBX Brushless de Samuel Bulle.
Samule Bulle utilisait cet accu 8S de 9000 mA à bord de son châssis électrique.
Un demi train avant de la FBX Brushless de Samuel Bulle.
Moteur de 800 Kv sur la FBX de Samule Bulle.
Tony Seiller a vendu sa société. Mais que les fans se rassurent, la production des ST5 continue !
La ST5 F19 de Tony Seiller.
La ST5 F1 de Tony Seiller.
Le train avant de la ST5 F1 dans son ultime configuration, avec sa doule triangulation anodisée noir.
Différentiel arrière autobloquant SCS à l’arrière de la ST5 F1.
David Losque disposait de la nouvelle Harm SX-5S.
La nouvelle Harm SX-5S de David Losque.
La nouvelle Harm SX-5S de David Losque comporte quelques particularités mécaniques.
Nouvelle barre antiroulis avant montée sur basculeurs à bord de la Harm SX-5S.
Moteur DM Racing sur l’auto de David Losque.
Encore un doublé pole et victoire pour Sébastien Marinot en catégorie F1.
La Genius FR2 la plus rapide du week-end pilotée par Sébastien Marinot.
La Genius FR2 de Sébastien Marinot.
Nouvelle butées de fusées sur la F1 du vainqueur Sébastien Marinot.
Les amortisseurs arrière fixés à plat sur la genius FR2.
Nouveaux bras inférieurs arrière de suspension à bord de la Genius FR2 de Sébastien Marinot. Ceux-ci facilitent les accès aux réglages de géométrie.
Florian Durandin fut la star du jour au sein de la catégorie F1 ! Celui que l’on a surnommé le roi des » Moucraines à la Galviouse » ??? compte déjà un titre de champion de France National en TT 1/8 brushless. Venu s’essayer aux commandes d’un châssis de location, il parvient à s’immiscer en 3ème position du classement général après une prestation remarquée ! Sa force : il la puise dans sa fameuse mèche de cheveux rebelle !
La ST5 de location de Florian Durandin.
La ST5 de location de Florian Durandin.
Christophe Weron, qui recherche toujours déséspérement Suzanne, et sa Bugatti, of course ?!
Non ce n’est pas le bandit masqué, mais plutôt Rémi Corona qu manquera de malchance pour cette 1ère, avec une panne d’accu et des soucis avec sa couronne de transmission.
La FBX de Rémi Coronas.
Laurent Grau et ses 2 châssis thermiques et brushless qu’il produit.
Le Proto électrique de Christophe Padovani.
Le proto de Christophe Padovani qui termine second de la finale électrique.
La suspension arrière du proto de Christophe Padovani ne s’appuie que sur un seul amortisseur.
La suspension arrière du Sport Proto développé par Christophe Padovani comporte un Pod Articulé.
Le train avant du Proto de Padovani.
Freins avant en époxy à l’avant du proto de Padovani.
L’Albigeois Jean-David Vecchionne signe une 7ème place en FF.
La FF de Jean-David Vecchionne.
La FF de Jean-David Vecchionne.
Le Luxembourgeois Jean-Jacques Pierrot.
La S88R FF de Jean-Jacques Pierrot.
Le magasin Hobby Center présentait tout un lot de pièces adaptables sur de nombreuses autos de la catégorie.
Sous le podium avec les mécanos.
Sous le podium avec les mécanos.
Sous le podium avec les mécanos.
kkk.
Rémi Coronas sur un ravitaillement express.
Un ravitaillement bien orchestré avec Franck Cohade.
Départ d’une finale en catégorie Formule France.
L’équipe Yankee réunie au grand complet.
Ambiance sur le podium sur la piste de Beaumont Monteux.
Les pilotes en pleine concentration.
Action avec les Sport Proto.
Action avec les Sport Proto.
Action avec les Sport Proto.
Action avec les Sport Proto.
Action avec les Sport Proto.
Action avec les Sport Proto.
Action avec les FF.
Action avec les FF.
Action avec les FF.
Action avec les voitures de la catégorie Elite.
Action avec les voitures de la catégorie Elite.
Qualifications
Dans la catégorie Elite, cela en deviendrait presque lassant, puisque c’est une nouvelle fois Bernard-Alain Arnaldi qui s’empare de la pole au nez et à la barbe de tous les acteurs présents ! Le pilote Niçois signe un temps en 33 tours 10.02.099 qui le met hors de portée de tous les intervenants. A ses trousses, Cédric Prévot signe un 32 tours en 10.04.312 qui le place devant Olivier Sampietro en 32 tours 10.10.714, puis Didier Dahan en 31 tours 10.15.040 et devant le Nantais Jérémy Hervouet en 30 tours 10.00.843.
Dans la catégorie Formule France, Pierre Filloux affiche la super forme ! Il parvient à damer le pion à tous ses adversaires avec un magnifique 30 tours en 10.04.604 qui le place devant Frédéric Veysseyre himself en 30 tours 10.05.370, puis devant Christophe Weron en 30 tours 10.09.439 et Christophe Houzel en 30 tours 10.11.454. Rudy Veysseyre fermant la marche avec un 30 tours en 10.11.876.
Dans la catégorie F1, bataille au sommet entre Tony Seiller (le frère de Jacques !) et Sébastien Marinot. Et c’est Seb Marinot qui décroche la timbale en 30 tours 10.03.996 devant Tony Seiller donc, en 30 tours 10.12.371, Guillaume Loubière en 29 tours 10.12.087, Julien Peynot en 29 tours 10.18.000 et Jean-Pierre Grellier en 27 tours 10.01.686.
Dans la catégorie Brushless, Olivier Sampietro sera le plus rapide en 25 tours 8.02.550. Il devance Samuel Bulle en 25 tours 8.15.967, Christophe Padovani avec son Proto en 25 tours 8.17.247, Laurent Grau en 25 tours 8.19.488 et Baptiste Albert en 24 tours 8.18.910.
Résultats des Qualifications
Finales
Dans la catégorie Elite, BA Arnaldi s’empare du commandement de la course dès le premier virage. Il sera impérial durant tout le temps imparti et ne fera qu’accentuer son avance, qu’il porte à près de 2 tours sur Olivier Sampietro à l’arrivée. A 16 secondes de retard, Cédric Prévot termine sur le podium en 3ème position, à près de 6 tours devant Didier Dahan ! Hiérarchie des qualifs respectée, donc. Jérémy Hervouet et Pascal Hervy terminent derrière dans un mouchoir de poche.
Dans la catégorie Formule France, Le pole man Pierre Filloux ne sera pas aussi à l’aise que durant les qualifs. Un mauvais choix de pneus sûrement ! Il n’en fallait pas davantage pour que Frédéric Veysseyre reface surface. Les deux hommes livrent cependant une belle passe d’armes sur la piste qui tournera à l’avantage du dernier cité. Victoire de Fred Veysseyre donc, devant Pierre Filloux et Rudy Veysseyre, bien remonté, qui parvient à faire la pige à Christophe Weron en 4ème position. Laurent Grau bouclant le Top Five du jour.
Dans la catégorie F1, Rien ni personne ne sera en mesure de pouvoir contester la suprématie du pole man Sébastien Marinot qui distancera tout le monde pour terminer sa course avec presque 4 tours d’avance ! Face à cette hécatombe, seul Julien Peynot a résisté en 2ème position. Celui-ci inflige également près de 5 tours dans la vue à Florian Durandin qui n’en demeure pas moins satisfait, car il termine sur le podium pour sa première participation à une manche de championnat de France !
Dans la catégorie Brushless, nous assisterons à des combats épiques entre les autos d’Olivier Sampietro et celle de Samuel Bulle, avec aussi celle du Clermontois Christophe Padovani logée en embuscade ! Mais au prix d’une belle maîtrise du pilotage, le Vosgien Olivier Sampietro conserve le leadership et il finit par obtenir gain de cause pour la victoire devant Christophe Padovani et Samuel Bulle.